John Swerts n’en est pas à ses débuts. Déjà un troisième album en 2016, il dessine les contours de son style toujours un peu plus. Entre l’apocalyptique et le mélancolique. Piano triste et voix effacée servent son histoire tragique. Ce concert cathartique gorgé de douleur et d’abattement réussi pourtant le pari d’une certaine légèreté, d’une certaine liberté. Nous étions là lors de son passage à Eurosonic pour assister à ce moment unique. En voici le témoignage. C’est dans l’enceinte de la belle église Aa qu’assis devant son piano, John Swerts s’est dévoilé. Son live résonne avec justesse, faisant vivre le lieu sacré, d’une autre manière.
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