Le festival Gnaoua d'Essaouira s'est ouvert sous les rythmes furieux d'une ribambelle bondissante de musiciens, unis par leur fougue, quoique séparés par un désert...
Fusion de cultures pour une seule et même énergie. Le festival Gnaoua d’Essaouira s’est ouvert sous les rythmes furieux d’une ribambelle bondissante de musiciens, unis par leur fougue, quoique séparés par un désert.
À droite, le griot malien Baba Sissoko et sa formation Mali Tamani Revolution. A gauche, le Maâlem Marrakchi Kbiber, et ses musiciens, tous égrainant au même galop un spectacle saisissant de vigueur.
Les deux musiciens se sont rencontrés à l’occasion d’une résidence ici, à Essaouira, pour accoucher de ce set où le griot malien chante en arabe, tandis que le Maâlem marocain perdure la tradition Ganoui, héritée de l’Afrique noire.
https://www.dailymotion.com/video/xji965_baba-sissoko-mali-tamani-revolution-live-festival-gnaoua-2011_music
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