Quand on a proposé à Christophe Bell-Œil une carte blanche sur Sourdoreille à l’occasion de la sortie de son nouvel album « Je ne vois pas le monde », il a tout de suite été très enthousiaste. Voici une occasion de montrer qu’il ne sait pas uniquement chanter et jouer de l’accordéon…
Quand on a proposé à Christophe Bell-Œil une carte blanche sur Sourdoreille à l’occasion de la sortie de son nouvel album « Je ne vois pas le monde », il a tout de suite été très enthousiaste. Voici une occasion de montrer qu’il ne sait pas uniquement chanter et jouer de l’accordéon… Il peint également, ainsi qu’en témoignent les tableaux ci-dessous. Et puis en cadeau, Christophe offre trois titres rares ou inédits, parce qu’après tout, c’est sa carte blanche et qu’il en fait ce qu’il veut !
Quatre disques, une photo des quatre albums publiés par Bell Œil quand c’était encore un groupe. Un peu comme le résumé d’une aventure qui dura dix ans.
Carton (1) date de 1996, l’année de la sotie de la démo « Vivre dans la nausée », dont la chanson Merci la France est tirée.
Un siècle après Munch, Bell-Œil peint aussi un tableau qui s’appelle Le Cri et s’en sert pour la couverture de son premier album qui sort au moment du passage à l’an 2000.
A coups d’acrylique et de craie, les tableaux Corps noirci (1) et Corps noirci (2), qui datent tous deux de 2000.
En 2003, à l’occasion de la sortie de la compilation Tribute to Les Thugs, Bell-Oeil livre une reprise d’un titre du groupe punk angevin, « Suspended time ».
Je suis fais de bosses (dix-huit) et Je suis fait de bosses (huit), qui rappellent fortement la couverture de « Cabossé ». Ce n’est sans doute pas un hasard.
C’est pas moi qui parle c’est l’autre, alors que le groupe est en train de vivre ses derniers mois, en 2006.
Je t’ai en travers de la gorge, 2006 aussi.
« L’Homme le plus fort du monde », écrit et chanté avec Philippe Chasseloup, est sortie en 2009, mais le disque, publié à mille exemplaires seulement, est épuisé.
Chasseloup & Bell-Oeil – L’Homme le plus fort du monde
Nous terminons cette carte blanche par une question existentielle : Suis-je un ou plusieurs, une peinture de 2005.
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