Business pour certains, galères pour d'autres...
Si la Fête de la musique reste un moment unique pour faire du bruit sans être inquiété, l’arrivée de l’été ne fait pas forcément le bonheur de tout le monde. Bref tour d’horizon.
Les chanceux
Le marché noir.- Il est possible de vendre tout sur le coin du trottoir. Les instruments laissent parfois la place à divers objets et substances insolites. Bien sûr la police rôde.
Les barbecues.- Fumée opaque, fringues flinguées par l’odeur de la graille… Bienvenue à la Fête de la saucisse. La Merguez partie des Musclés connaît une kyrielle d’adeptes.
Les CRS.- Il en faut pour faire plaisir à ces fonctionnaires de police. A chaque sortie, c’est une prime pour les hommes à la matraque facile. Vivement le 14 juillet !
L’épicier.- La soirée à ne pas manquer pour l’épicier à l’angle de la rue. Lorsque le porte-monnaie est presque à sec, c’est la solution de repli idéale pour le noctambule imbibé.
Les vénères
Les salariés de la RATP doivent détester l’arrivée de l’été. La faute à un forfait spécial (3 euros) permettant de voyager du mardi 21 juin 17 heures au lendemain 7 heures, autant de fois que l’on souhaite, dans toute l’Ile-de-France.
Le travailleur qui embauche à 5 heures et qui ne dispose pas d’un appartement côté cour l’avait mauvaise. Plutôt que se faire une raison et sortir, il s’est obstiné à rester chez lui. Mauvais choix !
Les services propreté.- Comme si la fin du marché ne suffisait pas, le gilet jaune fluo se retrouve obligé de nettoyer les restes d’une soirée où verre et canettes jonchent le sol.
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