On ne peut pas dire qu’ils étaient frais, les cinq Rennais des Popopopops, au lendemain de leur concert à la Cigale. Le groupe avait passé la fin de la nuit à mixer jusqu’au petit jour au Daron, bar restaurant du quartier Pigalle. On ne leur en a pas tenu rigueur, d’autant qu’ils se sont gentiment plié à l’exercice périlleux de l’interview de lendemain de soirée. Le tout sans gueule ni langue de bois.
Outre sa renommée pour ses galettes saucisse et son agréable climat tempéré, la Bretagne est en train de se tailler une place de choix dans le paysage musical français. Bretagne, terre de festivals et de vocations ?
Et au final, grâce aux Transmusicales de Rennes, ils sont même allés faire plusieurs dates dans d’autres continents.
Sur la pochette de leur premier album, ainsi que sur le clip de « Pure », les Popopopops ont choisi d’être représentés par un homme sombre aux traits burinés par les embruns. Un certain Thierry pour lequel ils ne tarissent pas d’éloge. Moi, je veux bien, mais c’est qui ce Thierry ?
Difficile de passer à travers notre fâcheuse tendance à la comparaison. Les Popopopops, biberonnés à New Order ?
Après 5 ans de formation, ils ont choisi d’enregistrer ce premier album dans 5 lieux différents, pourquoi cette bougeotte ?
Swell, nom de ce premier opus, a la particularité d’avoir un nombre multiple de définition, la leur ?
Pour finir, un petit remix concocté par les Popopopops pour leurs collègues rennais de Manceau.
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