Une aptitude pour faire sonner sa guitare nonchalamment, une voix innée pour chanter le rock, un caractère de chien et des casseroles au cul par milliers : Anton Newcombe, tête pensante de Brian Jonestone Massacre, a la profil idéal de l’icône indie-rock. A cela s’ajoute un documentaire Dig ! qui l’a définitivement consacré au panthéon musical des branleurs. Seul hic, sur scène, c’est un peu quand ils veulent. Récemment, au Trianon, ils voulaient. Quand on les a revus au festival Beauregard en début d’été, on fut définitivement convaincu de les inclure dans notre planning de tournage de notre Rock En Seine 2016. Bien nous en a pris. Voici Who ?
0 commentaire