Si l’idée que l’on filme et parle de hardcore peut sembler incongrue (en dehors de Manu le Malin, en tout cas), il a semblé à notre équipe qu’une présence au Festival Paco Tyson se devait de représenter au maximum les esthétiques invitées. C’est pourquoi on s’est lancé dans la fosse aux lions, en plein stage hardcore pour aller y capter le Hongrois Svetec, et sa techno hardcore au kilomètre, sa bonne énergie et sa science de la nuance.
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