364 jours par an, le manoir de Keroual (commune de Guilers) baigne dans la sérenité, à l’ombre d’arbres centenaires. Mais début août, durant toute une nuit, les ruines se mettent à trembler. Houblon et psychotropes aguichent la faune locale qui s’excite sur le dancefloor.
Dans ce cadre onirique, on a apprécié la déco léchée dans la cour de granit. Par contre, on tentera de zapper l’orga un peu arnachique.
Plongée au cœur de la folle nuit d’Astropolis.
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