Le musicien d’électronique allemande Stephan Bodzin s’est illustré au Festival Panoramas comme il sait si bien le faire. Par un astucieux set partagé entre la minimale (qui a fait les beaux jours de Berlin dans les années 2000) et des mélodies efficaces, il a rappelé à la jeunesse qu’on n’a rien sans rien. L’expérience de Bodzin, c’est aussi la science des machines, qu’il manie à merveille, qu’il a même designé pour certaines. Amoureux des années Romboy-Babicz-Bodzin ? Vous êtes servis.
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