Un micro, un café, un matin… et un mec bien. Depuis le temps qu’on vous en parle, Sourdoreille a réussi à capter Philippe Prohom pas loin de Gare de Lyon. Logique pour ce résident de la Croix-Rousse (quartier de la cité gone) qui se déplace à Paris « quand il faut y venir ». La capitale l’étouffe. Scénographie, musique, rapports humains, politique… Près de vingt minutes d’échange sur la carrière d’un artisan musicien qui nous a confié hors micro la sortie d’un livre en novembre, avec une amie illustratrice.
Crédit photo Prohom : LoLL Willems
Début juin, on a enfin réussi à caler une date avec Philippe Prohom pour en savoir plus sur cet oiseau à part dans le paysage français. Micro et appareil photo en mains, le résultat se résume à un entretien où l’humain se trouve au centre de l’interview.
Pour ceux qui auraient la flemme ou pas le temps d’écouter, Philippe résume l’état d’esprit de son dernier album « Un monde pour soi » de belle manière : « Tu choisis l’issue des choses. Si tu regardes bien, c’est pas toujours de la faute des autres. Entre le sombre et la lumière, c’est toi qui choisis. Quand bien même il y a des périodes où t’es au bout du rouleau. »
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