A l’écoute du projet Perturbator, les comparaisons fusent : Kavinsky, Justice, Carpenter Brut d’un côté et même du Arnaud Rebotini ou du Vitalic. De la musique ultra compressée, semble-t-il à destination des gamers du jeu Outrun, qui tente le diable en mariant guitare électrique et synthétiseur dans une course folle. Entre ouverture au mauvais goût (bagnole, synthé kitsch, jeux vidéo) et puissance maîtrisée, Perturbator fonce et ne se retourne pas.
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