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Notre gourou Michael Mayer en cinq titres

Depuis plus de 20 ans, sa gentille tête blonde propage une dose d’amour inégalée de Santiago du Chili à Bali, en passant par Cologne. Lutin des petits matins ensoleillés, Michael Mayer est aussi le papa d’une tribu électro-pop joviale, le label Kompakt. Avec nos amis d’Astropolis, on l’invite pour nos dix ans, dans l’antre du mythique Cabaret Vauban. Voici cinq titres pour découvrir cette belle âme.

Connan Mockasin – Faking

Jazz Together (Michael Mayer remix)

Il fallait forcément avoir un ADN profondément pop pour oser toucher à l’œuvre de Connan Mockasin, ce cinglé aigre-doux made in Nouvelle-Zélande. Mayer l’a fait avec classe en cousant de fil d’or « Faking Jazz Together », sorti sur Forever Dolphin Love en 2011.

Supermayer – The Lonesome King

Quand Michael décide de partir en tournée avec son copain Superpitcher en 2007, c’est pour défendre un album pop écrit à quatre mains, Supermayer Save The World. La splendeur pop de Kompakt dans ce qu’elle a de plus fin et nostalgique, de déroutant aussi, comme cet hymne à un roi perdu. Ceux qui étaient devant leur set à Astropolis en 2011 se souviennent…

Michael Mayer – Good Times

feat. Jeppe Kjellberg

Mayer n’est pas un énorme bosseur quand il s’agit de produire. Seulement deux LP et des EP à son actif, alors que le garçon tourne autour du globe en permanence. Sa force : savoir distiller les bonnes ondes de Kompakt à travers des mixes qui en font un des meilleurs lutins du petit matin. Voici Good Times, sorti en 2012.

Michael Mayer – The Stickler

Ce morceau est issu du dernier EP sorti par Mayer en collaboration avec son ami Reinhardt Voigt, autre co-fondateur de Kompakt, en 2015. On a l’impression qu’il pourrait durer deux décennies, on s’en rendrait même pas compte.

Michael Mayer – Lovefood

Issu du premier album de Mayer, « Lovefood » pose les bases de la recette des mixes de Mayer. Une sensibilité tech-house jamais putassière mais parfois raillée, un petit secret susurré à l’oreille qui vous tient toujours en haleine. Les années passeront, oncle Michael restera éternel.

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