Les rappeurs américains ont toujours eu une certaine côte au Dour Festival. Après NAS l’année dernière, et Tyler The Creator le lendemain, Mick Jenkins a su communier avec les festivaliers francophones venus l’acclamer en masse sous la scène de la Boombox qui se sont laissé avoir l’enfant de Chicago avec sa voix de baryton et ses mélodies bien loin de la trap actuelle.
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