Chaque 8 mars, le bal des hypocrites reprend ses droits. Journée Internationale de la Femme. Avec les majuscules, s’il vous plait. La belle occasion pour de parfaits goujats de s’acheter une piteuse bonne conscience annuelle, à bas prix. Et puis l’occasion pour nous également de proposer une hasardeuse (et un peu débile ) variation en quatre thèmes sur cette brûlante question qu’est la liberté d’expression. En musique bien-sûr. Pour vos Mesdames, pour vous Messieurs. Mais surtout pour vous Mesdames.
1. Le droit de prendre la parole. Par Tachka. Elle ne s’est pas encore présentée à vous, ou furtivement. Elle est discrète, patiente, et a décidé de rester encore sur sa réserve pendant un petit moment. Elle a pourtant une voix et une classe qui n’attendent plus que l’attention de vos petites oreilles. Elle, c’est Tachka.
2. Le droit d’ouvrir grand sa gueule. Par Casey. Hasard plus que coïncidence, son nouvel album sort ce lundi 8 mars, et s’intitule « Libérez la bête ». Notre pitbull préférée du rap français jouit de ses droits en décochant des droites. Par le verbe, toujours par le verbe. Salutaire.
3. Le droit de fermer sa gueule. Par France Leduc. Pire que la psychose Grippe A, plus inquiétant que les faillites de la Grèce et de l’Islande réunies, plus terrible encore que la probable branlée du NPA aux prochaines Régionales, il y a… il y a… Le MAIN SQUARE FESTIVAL de retour cet été, et les nouvelles vociférations à prévoir de sa charmante directrice.
4. Le droit de s’exprimer à nouveau. Par An Pierle. Quatre ans qu’on attend un nouvel album, une nouvelle tournée pour cette fille qui, à elle toute seule, vous fait aimer la Belgique. Exprime-toi, Femme, exprime-toi…
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