La machine à danser qui défie les époques était de passage à St-Laurent-de-Cuves.
Oubliez tout ce que vous saviez sur la musique funk. Ou presque. Avec General Elektriks, on parle ici d’un funk du XXIème siècle, mais blindé de références. C’est là le tour de force de Hervé Salters, qui a progressivement fait monter en puissance son projet, depuis dix ans. Ce type a voué fidélité éternelle aux claviers vintage et aux jeux de jambes déroutants. Son troisième album « Parker Street » garde la ligne conductrice des précédents : faire bouger son petit monde et ériger la danse comme vertu première d’un public qui n’attend que ça pour se perdre dans ce dédale d’influences.
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