Dour, ça n’est pas qu’une bande de stars du rap, des métalleux sans foi ni loi, des DJ engagés pour maintenir la température des chapiteaux au maximum, des kilos de son, des cris, des kicks. Non, Dour programme aussi la folk sous toutes ses formes et récompense les paroliers internationaux et locaux qui écrivent avec les tripes et leur coeur. La fragilité de Dan San n’a pas échappé au regard et au nez fin des organisateurs. On s’est éloignés de la foule et du bruit pour vous capter un moment de douce mélancolie.
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