Un vrai mélomane, ce Pinochet.
La musicologue britannique Katia Chornik n’a pas du se faire que des copains en publiant son étude. Celle-ci révèle que, pendant le règne de ce bon vieux Pinochet, ses hommes de main utilisaient Dalida et Julio Iglésias comme instruments de torture auprès des détenus du régime chilien. Leurs morceaux étaient joués à pleine balle, 24h/24H. De quoi rendre dingue ces pauvres prisonniers. Par exemple, pour leur faire comprendre qu’ils allaient passer un sale quart d’heure en salle de torture, les geôliers chantaient Gigi l’Amoroso en signe d’avertissement. Plus prestigieuses, My Sweet Lord (George Harrison) ou la bande-son de Orange mécanique (Stanley Kubrick ) ont également été exploitées.
Plus d’infos sur cet article du Daily Mail.
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