Notre captation du live du prodige anglais à La Machine du Moulin Rouge à portée de clic.
Sept ans après « The Idiots Are Winning », James Holden est revenu à la production personnelle avec « The Inheritors ». Un album torturé, complètement différent du précédent, qui propose sa version du bouquin de William Golding.
En juin dernier, l’Anglais répondait à nos questions et nous confiait l’histoire de « The Inheritors » : « Le titre vient du livre du même nom de William Golding. Dans ce bouquin, les héritiers sont les humains – ils héritent de la Terre au moment où le protagoniste du livre (un homme de Néanderthal) observe l’extinction de son espèce. Dans ce disque, j’ai imaginé un monde dans lequel de belles et de vieilles idées pourraient exister dans le présent et j’ai proposé une voie qu’aurait pu emprunter la musique. Dans ce disque, j’ai imaginé un monde dans lequel de belles et de vieilles idées pourraient exister dans le présent et j’ai proposé une voie qu’aurait pu emprunter la musique »
Si l’Homme de Néanderthal et l’Homo Sapiens avaient cohabité plus longtemps ensemble, ils auraient peut-être fait de la musique. Peut-être qu’elle ressemblerait à ça. Et qu’elle sera pratiquée comme telle.
Sourdoreille est fier de vous présenter la toute première captation de James Holden presents The Inheritors (live)à La Machine du Moulin Rouge (Paris). Pour ce live, il est au synthé modulaire (cette grosse machine avec des fils de toutes les couleurs), de son contrôleur et est accompagné de Tom Page à la batterie et Jack Featherstone aux visuels. L’invité du soir est Etienne Jaumet (Zombie Zombie) au saxophone.
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