Il fallait vivre le concert de Catastrophe pour le croire. Tantôt lumineux, tantôt tirant les ficelles de l’étrange, le groupe de dandies signés sur le label du non-moins classieux Bertrand Burgalat, étonne par son côté caméléon. Prônant la liberté de mouvements comme un hommage au ridicule, la formation vogue entre crooning, pop kitsch et R’n’B 2000 sans forcer.
Après Chassol, April March ou autres Jef Barbara, les Catastrophe font perdurer cette belle tradition musicale aux verres fumés de la maison Tricatel.
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