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Bande-son du mardi, bonjour Marseille

Zoom sur la cité phocéenne avec cinq de ses ambassadeurs, en cette veille de Marsatac !

Dans trois jours, notre équipe file à Marseille pour l’un des festivals les plus alléchants de cette rentrée : Marsatac, qui se déroule, comme son nom l’indique presque, à Marseille. Voici une bande-son en l’honneur des jeunes pousses de la Canebière. Certaines (Jeweil, Oh ! Tiger Mountain) seront d’ailleurs à Marsatac.

Commençons par Oh ! Tiger Mountain. « J’ai envie que mes chansons ressemblent à des maisons en allumettes où on a l’impression qu’à chaque instant, tout peut se péter la gueule », dit cet homme étrange caché derrière un masque de tigre. Nous, on y a surtout vu un songwriter à suivre de près, qui s’apprête à sortir son premier album en octobre.

 

On passe à Dissonant Nation. Un groupe de pop-rock, avec un mini-tube en puissance, Merry Go Round. L’un des espoirs de la cité phocéenne, qui n’est pas connue pour accoucher de groupes indie de ce genre. On a choisi un autre titre, taillé pour le dancefloor, pour cette bande-son. Voici un remix de Nasser (on en reparle en dessous), We Play We Are.

 

Le groupe qui marche le mieux cette année à Marseille ? Peut-être Nasser, trois gars issus de la publicité dont on vous a déjà parlé ici. Cet été, soit vous avez fui les festivals, soit vous êtes tombés nez-à-nez en fin de soirée avec cette machine à faire danser. Voici leur titre Marseille and Anywhere remixé par leurs voisins d’Aix-en-Provence, Stereoheroes. Presque Marseillais, eux aussi.

 

Qui est l’ambassadeur de Marseille, celui qui exporte le plus souvent le nom de la ville bien loin du Vieux Port ? Sans doute Julian Jeweil, producteur de techno minimale courtisé par de chouettes labels (Plus 8, label de Richie Hawtin, ou Form, celui de Popof). Voici 518 secondes pour le (re)découvrir.

 

Impossible de savoir si Leo Le Bug est réellement Marseillais, tant ce producteur reste énigmatique. Ce qui est sûr, c’est qu’il passe son temps aux côtés de la clique de Chinese Man, icônes du 1-3. On laisse de côté le titre Pudding à l’Arsenic, son mashup entre Asterix et Grandmaster Flash, qu’on a entendu un peu partout. Voici Iniwinitiniwini, autre morceau sorti sur Chinese Man Records.

 

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