Les punks héritiers des Bérus reviennent cette année dans un état d’esprit plus brut et énervé que jamais. On se doutait dès lors qu’interviewer un membre du Stupeflip Crou comportait un risque certain de râteaux et de bâches. Face à une telle situation, rien de tel qu’une interview « projection improbable ».
J’ajoute ma petite sauce, mais je ne suis pas du tout d’accord avec les 1ers commentaires. Car en l’occurrence c’est pas l’itw qui est spécialement mauvaise (je trouve même hyper intéressante certaines questions), mais plutôt la façon d’y répondre beaucoup trop expéditive comme si ça le faisait chier!
Quant à l’itw de Chokebore, elle est juste géniale : original et décalé. Le choix des pochettes est excellent et rassemble tout un pan de musique. En plus, on y apprend de vraies choses sur Chokebore, les groupes influents ou avec lesquels ils ont tourné. Bref la crédibilité de ton commentaire Jean Gabon ne tient pas une seule seconde!
@Jean Gabon : « le mec le signale à la fin de l’interview »; ha bon ?
@Hugo : le jour où nous réfléchirons en termes de « productivité » de l’information, ce site n’existera plus. Triste ce mot.
@Jean : ok, la prochaine fois on lui parlera de ses influences, son album de la maturité et pourquoi ils ont choisi Chokebore comme nom de scène ;)
+1 @Hugo
Idem qu’Hugo, il serait temps que vous fassiez appel à des journalistes. L’interview du mec de Chokebore est triste à pleurer des larmes de sang avec une vieille discothèque moisie. Le mec le signale à la fin de l’interview. Pour Stupeflip, même topo.
va vraiment falloir apprendre a poser des questions interessantes, parce que question productivité, l’interview est au niveau zéro.