On a rencontré le Danois dans un paysage lunaire avant son show.
Beaucoup sont ceux qui, pour la première fois, utilisaient autant de fois les mots richesse, profondeur et chaleur en se plongeant dans la minimale d’Anders Trentemøller. Certains sont ceux qui, même avant, le connaissaient sous un jour bien plus techno et qui l’ont vu devenir ce producteur et ce « chef d’orchestre » menant sa bande de rockeurs.
Après son album « The Last Resort » (et son tube Moan) élu par Traxx et GrooveMag comme l’album de l’année 2006, Anders a connu une renommé vertigineuse. Tournant depuis quelques années avec son groupe et tirant sur l’électro rock, il ne se considère pas réellement comme DJ. C’est un multi-instrumentiste prodige et une boule d’énergie sur scène. L’artiste danois s’est aussi positionné pour le mariage homosexuel et en soutien aux Pussy Riot ces deux dernières années, ce qui n’a pas plu à tout le monde. Et comme on est gourmand, on a voulu en savoir plus sur sa collaboration avec un petit groupe local nommé Depeche Mode.
En attendant le mois de septembre et la sortie de son nouvel album « Lost » (vous pouvez déjà écouter le single Never Stop Running feat. Jonny Pierce from The Drums), on a rencontré cet homme de convictions et cet artiste sensible dans un paysage lunaire.
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