On vous a souvent parlé du supplément d’âme qu’avait un festival comme Les Vieilles Charrues. Alors pour fêter leur 25ème anniversaire, en plus de notre report écrit, on s’est exceptionnellement munis d’un appareil photo argentique et d’un numérique, histoire de ramener quelques souvenirs d’un événement qui reste à part, par son historique, son gigantisme, sa ferveur et ses excès.
Un peu d’amour partagé avec Suede.
Oui, c’est aussi grâce à eux qu’on reviendra tous l’année prochaine.
On pense qu’ils venaient du Bar 8.
Démonstration de Skol Gouren. Bon, on n’a pas osé avancer plus.
Il y a des après-midi plus difficiles…
… Mais il y a aussi des vaillants. La force de l’habitude, probablement.
Socalled offre son fruit dans la caravane.
Croisés sur le site, les frangins-frangines de Ropoporose.
Les bénévoles toujours présents pour faire vivre les Charrues. Merci.
Pour l’ambiance qu’ils mettaient sur le chemin, on leur a donné 10 bites.
On peut dire qu’on a croisé de vrais fans de The Kills.
Ils sont tombés amoureux ici. Depuis, ils baisent le sol du festival dès leur arrivée.
Et les lives, alors ?
Ladylike Lily n’a rien perdu de sa malice.
Her, heureux.
On vous le dit et on vous le répète : ce festival est une jolie Colonie de Vacances.
Alison Mosshart (The Kills), incontestable reine du jeudi.
Tindersticks, du plaisir et de la classe.
Parov Stelar a fait un carton. Un immense carton…
… Mais le moment partagé avec Ibrahim Maalouf restera probablement le point culminant du week-end.
Suede devant (très) peu de monde. Une injustice.
« Depuis quand n’avait-on pas joué devant autant de monde, nous ? »
Crédit photo : Laure Bourru
0 commentaire