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Didier Wampas : « Pour moi, le punk n’a jamais été No Future mais le futur »

Tous les retraités ne visitent pas des vestiges romains en bus climatisé. Sans avoir un corps d’athlète grec, retraité depuis un an de la RATP, Didier Wampas revient avec Bikini Machine pour slamer encore et encore. Discussion de comptoir avec un punk qui compte bien rester aussi longtemps que Trénet. Soit jusqu’à 83 ans. A minima…

Dans notre remaniement gouvernemental par la scène française, nous avions pensé au leader des Wampas comme ministre des Sports. Disponible pour le poste ?

Sérieusement, un mandat local t’intéresse-t-il, Didier ? Dans la même veine, faut-il être intrinsèquement narcissique et incontrôlable pour devenir une rockstar ?

Avec ton emploi à mi-temps, tu incarnais le musicien hors système par excellence. Pourtant, tu as été invité chez Ruquier…

Dans « Valdoisien hypodermique », tu ajoutes « Con comme un critique ». C’est ce que t’inspires ce métier ?

Après Chirac et Manu Chao, Tapie ne t’inspire pas en ce moment ? Autre sujet : si des villes basculent FN aux municipales en 2014, iras-tu chanter ou boycotteras-tu comme certains artistes des années 90 ?

Les punks, avec ou sans chien, représentent l’incarnation vivante du « carpe diem ». Alors, adopter au quotidien l’héritage des Sex Pistols avec la posture écolo, est-ce viable ?

L’ennui du retraité, tu connais ? Kent disait ressentir des petites douleurs physiques qui l’emmerdent, notamment pour son jeu de scène. Est-ce aussi ton cas ?

 

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