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Avant-première : la série complète des live sessions d’Odezenne

Dieu était grand, Chimpanzé, Novembre, Je veux te baiser, en vidéo pour vous.

Voici le dernier épisode de la série de live sessions d’Odezenne, réalisée par D.Burkhart. L’EP-vidéo nommé Rien_live record par D. Burkhart sera disponible en digital le 12 janvier sur toutes les plateformes, MAIS le groupe l’offre dès aujourd’hui en free download ici jusqu’au 24 décembre (aka le réveillon de noël).

Ne manquez surtout pas de venir le 10 mars pour voir Odezenne à l’Olympia (ici).

Rien_live record par D. Burkhart

A ce propos, on a reçu un petit texte d’Alix, l’un des deux MCs du groupe :

« 

Pourquoi cette session ?
Daniel Burkhart, c’est l’un des deux ingénieurs son qui nous suit depuis notre premier album Sans Chantilly. On fait nos disques avec lui.

On a voulu jouer ce dernier EP comme une session live en studio, faire les tracks tous ensemble en une prise. Obligé pour ça d’inviter un claviste supplémentaire, Mattia n’ayant pas assez de bras pour tout jouer seul. On a voulu aussi augmenter un peu les versions en rajoutant un batteur aux séquences rythmiques déjà existantes. Ça fait partie des tests qu’on fait pour le nouvel album. C’est naturellement Stéfano qui est venu faire cette session avec nous, le frère de Mattia. Il est batteur de jazz professionnel, tout comme l’était leur père Enrico Lucchini, un grand batteur jazz des années 70’s.

Je crois que c’est en voyant le basement de Radiohead [The King of Limbs: Live from the Basement, un album live en vidéo de Radiohead / NDLR] qu’on a eu cette idée, l’envie de montrer un autre visage des morceaux. Quelque chose de moins maîtrisé qu’une version disque classique où tout est fait séparément. Les lignes de basse, la guitare, les synthés, les voix et ainsi de suite, comme un sandwich qu’on assemble, pas le même truc du tout. C’est probablement la suite logique de la manière dont on a fait cet EP, c’est à dire sans samples.

Finalement on a joué le disque Rien en entier, ça coulait bien. Vingt-cinq minutes de session qu’on a découpées ensuite en épisodes. On y découvre des versions plus organiques des chansons, et au passage le visage qui se cache derrière la douce voix féminine de « Je veux te baiser »: ta bite ta bite ta bite.

»

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